mardi 27 novembre 2007

Habité par la Joie de Dieu, je me sens mieux

Le texte qui suit est un poème, appelé rondeau, de Charles d’Orléans (prince-poète du Moyen-Age). Je rejoins ce poète français qui montre que l’homme doit de lui-même faire le pas de crier à Dieu pour permettre à la Joie de celui-ci de pénétrer dans son cœur. Cette Joie de Dieu supplante toute forme de tristesse chez l’homme lui redonnant de l’optimisme dans la vie. J’en ai fait l’expérience ayant arrêté de soupirer après la vie qui ne me satisfaisait pas entièrement pour apprendre à me contenter déjà de tous les petits bonheurs qu’exauce Dieu à mon égard lorsque je le prie.

Par Sébastien

Expulsons-la, pour Dieu,

Cette Mélancolie Qui si fort nous harcèle

Et nous nuit gravement
.

Montrons-nous les plus forts,

Mon cœur, je vous en prie :

Expulsons-la, pour Dieu,

Cette Mélancolie !

Nous l’avons trop suivie
Pour ne pas l’attirer ;

Ne perdons pas de temps

A croire ses rapports :

Expulsons-la, pour Dieu !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Quand nous sommes remplis de la joie de Dieu, on voit les difficultés humaines différemment.